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FREEDOM BY GM

PRIX IVOR NOVELLO AWARDS (SUITE)

 

Vous trouverez ci-dessous des photos et articles des Ivor Novello Awards au Grosvenor House Hotel le 13 mars 1985, lorsque George a remporté son tout premier prix de l'auteur-compositeur de l'année.

Traduit par mes soins

 

PRIX IVOR NOVELLO AWARDS (SUITE)
PRIX IVOR NOVELLO AWARDS (SUITE)
PRIX IVOR NOVELLO AWARDS (SUITE)
PRIX IVOR NOVELLO AWARDS (SUITE)

Mars

«Le mois de mars était l'époque des prix Ivor Novello. Gagner un prix signifiait vraiment beaucoup pour moi, car à part toute autre chose, cela était accentué par le fait que nous venions de recevoir ce prix BPI, et il y avait un tel ressentiment total envers nous en tant que groupe. Et pourtant, assis aux Ivor Novello Awards avec un groupe d'auteurs-compositeurs et d'éditeurs, il était parfaitement évident que les gens dans cette salle voulaient que je le gagne. Et c'était pour moi la première véritable reconnaissance que j'avais jamais reçue professionnellement, le premier signe approprié de l'industrie que ce que je faisais valait vraiment la peine. Et c'était la raison pour laquelle j'étais si émue.

"Pas lui, idiot !" George siffle à Angela Rippon pour remettre le prix à la bonne personne.

Mais ça va me hanter pour le reste de ma vie! 

Les gens n'arrêtent pas de dire que j'éclate en sanglots tout le temps, ce qui ne peut être plus éloigné de la vérité. Ce qui est ridicule, c'est que je fais partie de ces gens qui ont toujours souhaité pouvoir pleurer, vous savez. Parce que je n'ai jamais pu. Peu importe ce qui se passe - j'ai assisté à toutes sortes de choses comme des funérailles et je voulais pleurer parce que je m'énervais vraiment, mais je n'ai jamais pu le faire. Je viens d'une de ces familles où l'on ne laisse pas trop les choses se montrer - donc pour moi, le faire devant des millions de personnes n'était pas vraiment le meilleur moment, tu sais! Mais je ne l'ai pas fait depuis et je ne le ferai probablement pas avant dix ans. Je ne pleurerai probablement plus jamais maintenant. Juste au cas où quelqu'un le verrait.

 

 

Oh ouais, en mars je suis monté sur scène avec Frankie (Goes To Hollywood). C'était hystérique! J'avais rencontré Paul plusieurs fois auparavant et Mark aux BPI Awards, mais je les ai tous rencontrés pour la première fois à leur concert à Birmingham. Ensuite, je suis allé voir Joan Rivers avec eux et je me suis très bien entendu avec eux. C'était un vrai rire. Ils ont été commercialisés comme étant vraiment agressifs, mais ce ne sont pas vraiment eux. Ils aiment devenir un peu fous et rire, vous savez, «juste pour le crack». Mais ils ne sont ni durs ni agressifs, comme certaines personnes semblent le penser. Bref, j'ai passé un bon moment avec eux et puis un soir, nous étions tous énervés dans leur chambre d'hôtel et ils ont dit: «Pourquoi ne viens-tu pas sur scène avec nous demain soir? Et j'ai dit: "Non, tu plaisantes!" Mais ils ne l'étaient pas, ils étaient assez sérieux. Alors je l'ai fait, je suis monté sur scène avec eux la nuit suivante, et j'ai probablement fait un vrai fou de moi-même. Je n'arrêtais pas de courir de microphone en microphone. Ça devait avoir l'air de la merde. Mais c'était hystérique.

Puis bien sûr, c'est en mars que nous sommes partis pour la Chine. Dieu - quand nous sommes revenus, c'était ridicule. Tout le monde disait: «Comment était la Chine? Comment était la Chine? Il est arrivé au point où dès que quelqu'un a dit «Comment…» je suis allé «Aargh»! Je me suis tellement ennuyé de tout ça. Finalement, chaque fois que quelqu'un posait cette question, j'avais l'habitude de dire: «C'était très chinois en fait». Alors, comment était-ce vraiment? Eh bien, ce n'était pas le Club Méditerranée, n'est-ce pas?!

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